En 1891, le curé Joseph Lizotte se détermina à construire un presbytère plus digne de la paroisse de Notre-Dame du Lac Saint-Jean. Tout le monde fut convié à un grand bazar au mois d’août. Un concert termina la fête, avec le concours de musiciens de Québec. Le bazar remporta un succès fabuleux. L’année suivante, un large bâtiment de brique (presbytère actuel) fit face à la maison à pignon, qui servit d’hôtel de ville et de palais de justice à la place de celui qu’on avait érigé en 1873 (extrait du livre de Rossel Vien).
De style victorien, le presbytère Notre-Dame de Roberval fut construit en 1892 et ce, sous le règne du curé Joseph Lizotte qui a largement contribué à faire connaître cet édifice, le rendez-vous des hommes d’affaires de toute la région et même de la province. Une multitude de décisions importantes ont été prises à l’intérieur de ce bâtiment qui faisait la fierté des robervalois.
On dit également que le presbytère Notre-Dame a inspiré une foule d’artistes peintres de tout le Québec qui se disaient impressionnés par sa beauté architecturale. Dans des notes recueillies dans des documents historiques de Roberval, le presbytère Notre-Dame attirait aussi l’attention des journalistes étrangers qui s’y arrêtaient régulièrement pour y admirer ce style particulier de construction et, bien sûr, la beauté du majestueux lac Saint-Jean.
De style victorien, le presbytère Notre-Dame de Roberval fut construit en 1892 et ce, sous le règne du curé Joseph Lizotte qui a largement contribué à faire connaître cet édifice, le rendez-vous des hommes d’affaires de toute la région et même de la province. Une multitude de décisions importantes ont été prises à l’intérieur de ce bâtiment qui faisait la fierté des robervalois.
On dit également que le presbytère Notre-Dame a inspiré une foule d’artistes peintres de tout le Québec qui se disaient impressionnés par sa beauté architecturale. Dans des notes recueillies dans des documents historiques de Roberval, le presbytère Notre-Dame attirait aussi l’attention des journalistes étrangers qui s’y arrêtaient régulièrement pour y admirer ce style particulier de construction et, bien sûr, la beauté du majestueux lac Saint-Jean.
